♪ Capucine Abigaël Twaler ♪

___FORMULAIRE. [/b]

I.DENTITE :

Nom :
Twaler
Prénom :
Capucine. Mais elle préfère qu'on l'apelle par son deuxième prénom.
Âge :
18 ans d'apparence, mais 53 en vrai.
Sexe :
Femelle.


A.CTUAL L.IFE :

Formalités :

Role ( au sein de la Meute ) :
Simple membre.

Portrait :

Physique Humain :
Contrairement aux autres Quilleutes, Capucine a la peau très pâle, presque autant que les élèves du lycée de Forks qui vivent dans cette ville depuis leur naissance et qui ont, du coup, peu vu le soleil quitter les nuages et briller. Elle est grande, très mince et sa peau prendre des étranges reflets entre le beige foncé et le doré. Elle a un beau visage avec des yeux marrons légèrement orangés, un petit nez discret, de jolies pommettes légères et bien reparties sur ses joues et de fins sourcils délicats. Abigaël a des cheveux plutôt étranges : ils sont blancs avec une teinte légèrement violette. Elle les laisse pousser jusqu'à la moitié de son dos et elle a quelques mèches courtes qu'elle a laissé sur son épaules ainsi qu'une frange longue qu'elle repousse sur les côtés de son visage. Elle porte souvent des robes aux couleurs classiques telle que noir, blanc et parfois gris. Sinon, elle se contente d'un jean et d'un sweet mais elle ne l'aime pas car c'est plus long à enlever en cas d'urgence pour la meute. Elle porte souvent de longues bottes noires en cuir.

Physique Loup :
Quand elle se transforme, Capucine devient une petite louve blanche comme la neige. Plutôt petite par rapport à la moyenne de la taille de ses camarades, elle est cependant plus gracieuse et plus rapide que les autres. Elle n'est pas énormément forte non plus mais quand elle a un but, elle se surpasse facilement. Elle n'aime pas son poil blanc trop visible. Elle se transforme aisament et enroule ses vêtements autour de sa patte arrière, sinon elle les laisse à un endroit où elle ira les retrouver. Elle se faufile un pe partout et du coup, il lui arrive souvent d'avoir des branches, des feuilles ou des toiles d'araignées sur le corps et surtout sur la tête. Ses yeux deviennent verts quand elle se transforme et ils forment un grand contraste avec sa fourrure.

Psychique :
Capucine est assez difficile à comprendre. Elle n'aime pas vraiment être loup et elle évite de se transformer. Elle n'aime pas devoir obéïr et préfère la liberté, bien qu'elle ne ressent pas d'amertume auprès de son Alpha. Seuls les quelques qualités des loups lui plaisent, sauf le fait de lire dans les pensées des autres. Elle aime la solitude et est assez renfermée, alors que chaque membre de la Meute puisse lire en elle comme en un livre ouvert, elle déteste ça plus que tout. Sinon, elle n'aime pas les remarques sur son manque de force et sa beauté. Oui, comme elle préfère être discrète, elle n'aime pas voir les regards admirateurs de certains garçons qui n'ont pas compris qu'ils n'avaient aucune chance avec elle ou celui des fills jalouses. Abi' adore la musique, surtout le piano et l'armonica. Elle a déjà crée des morceaux de piano comme d'armonica car elle en joue chaque soir et selon son humeur, les morceaux sont plus ou moins joyeux, mélancolique ou calme.


A.NCIENT L.IFE :

Histoire :
Encore un. Encore un jour de lycée plus qu'ennuyant. Elle espérait s'y habituer, mais chaque jour était plus monotone que le précédant. Capucine releva la tête quand le professeur d'anglais lui posa une question. Elle y répondit sans aucune hésitation puis reposa sa joue contre le bois dur et sec de son bureau. A côté d'elle se tenait un autre membre de la Meute cependant moins ennuyé qu'elle par le cours. Elle le regarda, plissa les yeux et reconnut le petit nouveau qui venait de muter il y a là moins d'une semaine. Elle soupira d'ennui, se redressa sur sa chaise et aperçut un regard discret et sévère du professeur. La jeune fille comprit qu'elle aurait bon pour une punition après les cours. Laquelle ? Des lignes, ou bien littéralement une colle ? Elle s'en fichait. Elle prétexterait une envie d'aller au toilettes, elle en profiterait pour s'échapper de cette prison puis se transformerait et là, elle saurait quoi faire. Enfin. La sonnerie la fit sortir de sa rêverie, et elle se faufila entre les élèves pour ne pas être remarquée par le professeur. Elle poussa un nouveau soupir, de soulagement cette fois quand elle fut en dehors de la classe sans avoir été convoquée, puis elle se dirigea vers son prochain cours. Elle pourrait enfin voir le nouveau, celui qui agitait les esprits des autres élèves depuis ce matin. Entrant dans la salle du cours de mathématiques, elle alla s'asseoir au fond de la classe, à sa place habituelle. Il n'y avait que trois places libres, ce qui lui faisait une chance sur trois de rester seule. Elle espéra de toute son ardeur qu'il aille ailleurs, à une autre table. Malheureusement pour elle, le professeur l'envoya à côté d'Abigaël. Elle jura silencieusement contre cet imbécile et sortit ses affaires. Elle entendit un mouvement à côté d'elle mais fit comme s'il ne se passait rien.

- Bonjour. Je m'appelle Aurélien Cherizeau, et toi ? dit une voix plutôt jolie pour un humain.

- Bonjour. Capucine Abigaël Twaler, répondit-elle, indifférente au charme du jeune homme.

- Enchanté de te connaître, Capucine. Tu es très jolie.

- Abigaël, grogna-t-elle à son nouveau voisin.

Il recula légèrement son tabouret, surpris par ce brusque changement de ton. Elle se sourit à elle-même, heureuse de voir qu'elle avait déjà découragé Aurélien à lui faire des approches. Elle tourna légèrement la tête pour le regarder, et il lui sourit en se rendant compte qu'elle le dévisageait. Mais elle, elle était trop surprise par sa beauté et ce que cela faisait sur elle. Il y avait quelque chose qui brûlait en elle, mais c'était différent de la brûlure de la transformation. C'était plus doux, plus amical mais plus ravageur. Elle se souvint avoir senti cela dans l'esprit de plusieurs loups. Elle y réfléchit, puis quand elle comprit, elle vit le reflet de son visage épouvanté dans les yeux du garçon. Elle se leva aussitôt, marmonna une excuse au professeur et sortit à grand pas de la classe. Dès qu'elle fut sortit du lycée et hors de vue des humains, elle se déshabilla et se transforma. Elle coura pour ne penser à rien d'autre que le son de ses pattes sur le sol, le vent qui fouettait son visage et ses oreilles. Au bout d'un quart d'heure, elle se laissa tomber en position assise au sol et recommença à réfléchir. Elle ne voulait pas s'imprégner d'un humain, elle ne voulait pas détruitre leur vie à elle comme à lui à cause d'un coup de foudre obligatoire. Pourquoi était-il venu, après tout ? Il aurait pu aller dans un autre lycée ! Dans celui de Forks peut-être, et il aurait fini en repas pour sangsue. Ce scénario lui lacéra le coeur, l'image du magnifique adolescent blond avec des yeux couleur noisette en train de se débattre inutilement pour s'échapper de l'étreinte du parasite qui lui suçait le sang. Elle désirait y entrer, tuer le vampire et peut-être, s'enfuir avec Aurélien. Abigaël secoua la tête, se releva et recommença à courir. Elle pourrait peut-être rester à ses côtés pendant sa vie d'humain en faisant des efforts pour ne pas perdre le contrôle du loup en elle. Peut-être qu'il saurait, peut-être que non. Puis une pensée fit tomber tous ses plans. Et s'il ne l'aimait pas ? Elle userait de son charme sur lui. Elle s'arrêta, se transforma en humaine et se réhabilla. Elle entra dans le lycée, parfaitement calme et déterminée, puis rentra dans les toilettes des filles afin de sauvegarder les apparences. Elle lissa ses cheveux légèrement violets puis sortit, un sourire aimable aux lèvres. La sonnerie aïgu rententit et elle attendit à la sortie du cours pour récupérer ses affaires. Quand les élèves furent sortis, elle entra et expliqua sa sortie imprévue au professeur, puis elle rangea ses affaires dans son sac et chercha après Aurélien. Il était adossé au mur à côté des toilettes pour filles, et son sourire s'évanouit. Il devait déjà avoir trouvé une petite amie vu sa beauté et il l'attendait. Mais lorsque qu'il remarqua Capucine, il la rejoignit d'un pas rapide et dit :

- Je croyais que tu étais au toilettes, je t'attendais.

Elle sourit.

- Merci. Au fait, désolée pour tout l'heure. J'étais énervée, même si ce n'est pas une excuse pour te parler ainsi. Tu peux m'appeller Capucine, si tu veux. Excuse-moi.

Il lui rendit son sourire et ses yeux pétillèrent de joie. Sa beauté lui coupa le souffle tandis qu'elle ressentait une drôle de faim qui la dévorait. Elle voulait le toucher.

- Ce n'est pas grave, Capucine. Tu pourrais me faire visiter le lycée, s'il-te-plaît ? Je suis un peu perdu. Au fait, j'ai Education Civique après.

- Bien sûr, avec plaisir. J'ai aussi Education Civique. Viens, je t'y accompagne.

Elle faillit lui prendre la main et le tirer en avant mais se retint en se mordant doucement la langue. Elle pût lui montrer la moitié du lycée avant que la sonnerie indiquant le début des cours se fasse entendre. Ils y allèrent ensemble et parlèrent durant tout le cours. Le soir, comme il était sensé prendre le transport scolaire, elle le ramena chez lui et elle constata avec un peu de tristesse qu'il habitait à dix minutes de course en loup de chez elle. Elle fut aux anges quand pour la remercier et lui souhaiter une bonne nuit, il déposa un baiser sur sa joue. Il se passa une semaine et un vendredi soir, il lui déposa un bisous à la comissure à la comissure de ses lèvres. Il lui sourit ensuite et dit :

- Ca te plaît, pas vrai ? (Elle sourit ) Au fait, c'est quand même étrange que tu te soit absentée toute l'heure pendant les mathématiques Jeudi et quand je t'ai attendu, tu n'étais même pas aux toilettes. Mais j'imagine que tu ne me diras pas pourquoi.

- J'ai eu... une urgence. dit-elle en rougissant. Il était intelligent et observateur.

- Tu n'as pas mieux comme excuse ? répondit-il, les sourcils froncés, aucune trace d'humour sur son magnifique visage intrigué.

- Si je te disais la vérité, tu ne m'approcherais plus jamais. rit-elle, bien que son ventre était noué à cette perspective.

- Je ne pense pas. murmura-t-il tout doucement et avec tendresse.

Elle leva la main, caressa sa joue tout doucement et lentement puis elle lui souhaita bonne nuit. Elle rangea sa voiture, se fit un peu à manger et, vers minuit, elle se déshabilla et transmuta. Comme tous les soirs, elle se rendit directement chez Aurélien. Elle passa par la fenêtre toujours entrouverte mais, cette fois, il n'était pas encore couché. Elle soupira, ressortit et attendit qu'il se couche. Quelques minutes se passèrent avant qu'une lumière ne s'alluma dans la chambre. L'adolescent prit ses affaires de douche, se doucha puis revint en serviette de bain. Elle le regarda se mettre en pyjama puis, quand il fut endormi, elle se glissa dans la chambre. Comme tous les soirs, elle était légèrement gênée de venir dans sa chambre nue. Lorsque qu'il bougea, elle fut sur ses gardes, lui qui normalement était calme dans son sommeil. Il s'assit sur le bord de son lit et elle se dépêcha de passer par la fenêtre. Il la verrait, mais ne la reconnaîtrait pas. De toute façon, un hurlement retentit, et elle sortit pour se transformer et redevenir un toutou à son maître.



Elle commença à jouer un petit morceau de piano très tendre sous les yeux de son spectateur. La mélodie naissait 'elle-même, sans que Capucine y réfléchisse, et elle se termina tout aussi doucement. Aurélien en profita pour attraper la taille de la jeune femme, il attrapa son menton, tourna sa tête dans sa direction et l'embrassa. Cela faisait 9 mois qu'ils sortaient ensemble et il savait son secret. Il savait qu'elle était une loup-garou et cela ne le gênait pas. Il savait qu'elle n'avais aimé que lui et qu'elle s'était imprégné de lui. Elle rompa le baiser, puis se saisit de son armonica et en joua un morceau qu'elle avait aussi crée pour l'objet de son imprégnation. Puis elle se leva et lui sourit. Un hurlement de loup se fit entendre et elle se dirigea vers la porte. Il la rattrapa et voulu l'embrasser, mais elle le repoussa et continua son chemin. Il enlaça sa taille et murmura à son oreille :

- Reste avec moi. Je veux tenter une chose.

Elle le repoussa une nouvelle fois, mais il tint bon, déterminé. Elle se tourna vers lui et il l'embrassa avec force. Elle lui rendit son baiser puis repartit. Il attrapa sa main, lui dit de se laisser faire et elle soupira. Si ça durait trop longtemps, elle 'en irait, mais elle pouvait toujours voir ce qu'il voulait. Il plaqua ses mains sur ses yeux et la poussa en avant. Tout à coup, il la relâcha et partit fermer la porte de la pièce. Surprise, elle remarqua qu'il l'avait emmené dans la chambre d'Abigaël. Il l'embrassa à nouveau et mit tout son poids sur la demi féline pour qu'elle tombe sur le lit. Quand il passa ses mains sur ses cuisses, elle comprit tout de suite ce qu'il voulait et commença à enlever son haut. L'adolescent commença à remoner sa robe quand un deuxième hurlement plus proche de chez elle se fit entendre. On l'attendait. Elle se releva, se revêtu convenablement et commença à aller vers la porte. Elle essaya del'ouvrir mais remarqua qu'elle était fermée à clé. En colère, elle se tourna lentement vers lui et il lui sourit malicieusement.

- J'ai pensé que tu resterais avec moi si je fermais la porte à clé. Reviens, Capucine. Ils se passeront de toi pour une nuit. Ils comprendront.

Ses bras se mirent à trembler, puis elle approcha d'Aurélien et chercha après la clé dans sa poche. Il posa sa main sur la sienne mais cela ne fit que faire grandir le loup furieux qui demandait à sortir. Puis il l'enlaça et baisa son oreille, sa joue, ses lèvres. Il glissa une de ses mains à l'arrête de sa robe mais elle le repoussa et fouilla dans les poches de son amant. Ne trouvant pas la clé, son corps se mit à trembler encore plus fort quand un troisième hurlement retentit. Ils avaient vraiment besoin d'elle. Aurélien embrassa le cou de sa compagne, puis elle fut trop faible pour résister à ses pulsions et y céda sans le vouloir. Elle voulut aussitôt redevenir humaine, mais elle n'avait plus aucun contrôle sur elle-même. Elle vit à travers les yeux d'un monstre enragé le jeune homme se défendre inutilement contre sa rage. Il avait de grandes marques rouges sur lui, et les couvertures blanches furent tachés de rouge écarlate qui avait une odeur de sel et de rouille. Elle fut incapable de s'arrêter alors qu'elle tuait le seul qu'elle avait aimé d'un amour plus fort que n'importe lequel. Lorsque qu'il fut mort et défiguré par ses blessures, elle se calma et commença à gémir. Elle coura, passant à travers le mur sans y faire attention, évita la Meute qui chechait à la consoler et partit évacuer sa rage et sa douleur.


O.UT OF G.AME :

Ajout : XX
Codes ( Deux dans le règlement & Deux dans les Explications ) : [u][/u] Bien sur, parfait =).

Merci Champi. Désolée pour les fautes, la conjugaison c'est pas ma tasse de thé.

Je voulais vraiment faire une louve triste et je voyais pas vraiment quoi trouver d'autre, puisque qu'elle ne s'était jamais attachée à ses parents.

Jill --> Ca, j'avais compris x]

Champi --> Bonne idée, en plus c'est plus pratique : aucune peur de tuer l'autre ^^