Blood' Appeal.
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Blood' Appeal.

Inspiré des Livres de Stephenie Meyer.
 
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 Kathleen.

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3 participants
AuteurMessage
Kathleen
Maitre du clan de la Lune & Champignon de son état.



Féminin
Messages Postés : 2
Age : 33
Nom du Perso' : Kathleen, Kitty/Cat.
Puf / Surnom : Champi, Champifeuille, Darkchampi.
Date d'inscription : 28/08/2009

Perso'.
Relations_:
Age du Personnage_: 18.

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MessageSujet: Kathleen.   Kathleen. EmptyVen 28 Aoû - 22:22

    ___FORMULAIRE.
    I.DENTITE :

    Nom : Jones.
    Prénom : Kathleen. Surnommée Kitty ou Cat.
    Âge : 18 ans.
    Sexe : Féminin.

    A.CTUAL L.IFE :
    Portrait :

    Physique Humain :
    Journal intime de Kathleen Jones.
    Page 25/50.

    « Que peut-on dire de moi ? Franchement, je suis banale à mes yeux. Je n’ai ni l’insondable mystère de Jill, ni la beauté surprenante de Skin. Je suis une fille banale, une nana parmi tant d’autres, de celles qui aimeraient se retrouver à la place des autres sans le pouvoir. Je n’ai vraiment rien de spécial, à part ma taille. Croiser une fille grande peut être surprenant, je sais, mais je suis aussi grande qu’un garçon normal. Je dis normal, car à la Push, tous les garçons sont des géants, eux aussi ... De fait que j’ai l’impression d’avoir une taille normale, et non une grande taille. J’ai par contre un air de poupée en porcelaine, de fille qu’on entretient, ce que je ne suis pas vraiment, en fait. D’après mon père, je ressemble à une petite poupée de porcelaine dégageant une aura métallique qui dissuade les gens de vouloir m’entretenir ou me chercher des noises.

    J’ai des cheveux noirs. Sous la lumière, ils prennent des reflets bleus, je trouve ça franchement jolis. Impossible pour moi de vous donner leur longueur exacte, même approximativement. Je tripatouille toujours mes cheveux. Je les coupe, puis je les laisse pousser, parfois je les boucle pour faire des anglaises ... Mes cheveux et moi, toute une histoire d’amour. Par contre je ne les coiffe pas, je les laisse aller où ils veulent. Raison pour laquelle j’ai quelques mèches rebelles et des cheveux qui rebiquent. Je les laisse faire parce que je m’en moque un peu, en fait. Ils encadrent parfaitement mes magnifiques yeux gris, la prunelle de mes yeux si je puis dire. Franchement, je suis très fière de mes yeux, des yeux gris métalliques comme on en voit dans les magazines sur les plus belles femmes du monde. Selon les amis que j’avais au collège, mes yeux dégagent une drôle de sensation, qui peut mettre mal à l’aise quelqu’un si je le regarde fixement. Parfois, sous le soleil, ils tournent au noir. Mais je suis l’exception de la famille, car mes deux sœurs et mon père, comme mon frère avant, ont les yeux rouges pâles. Je tiens mes yeux gris ‘normaux’ de ma mère.

    J’ai, paraît-il, une très belle peau, à la fois pâle et mate. Cette peau me donne un teint de jeune fille bien portante, une peau de pêche quoi, qui donne une envie folle de toucher, de caresser, pour voir si c’est aussi doux que ça en a l’air. Mais je déteste qu’on me touche, pouvant avoir des réactions violentes. Ca peut aller du petit sursaut et engueulade à la réaction purement défensive, attraper le bras pour le tordre. J’ai un air calme et mystérieux qui intéresse bien des gens, quoique moi je m’en moque un peu. Les gens font comme ils veulent, après tout. Ma mère me disait que chaque geste que je fais est empreint de grâce, de subtilité, de vivacité et d’élégance. Ouais, si tu veux, maman. Tu as du me confondre avec une de mes sœurs, ou vouloir me remonter le moral. Je n’ai pas de style vestimentaire défini, oscillant entre le noir et le blanc. Une chose est sûre, j’aime les jolis habits, grâce aux soins de ma mère et de mes sœurs ... Quand on était plus proches que maintenant. »


    Psychique :
    Journal intime de Kathleen Jones.
    Page 20/50.

    « On dit de moi que je suis imprévisible. C’est bien vrai. On ne sait jamais par quel bout me prendre et ce que je vais faire. Je ne suis ni sadique ni mauvaise par nature, mais il y a des jours oui et des jours non. Si l’on me déplait très rapidement, je me tairais mais je m’en souviendrais, pour agir en conséquence lors de la prochaine rencontre. Je ne suis pas une hypocrite, je suis même assez franche, et je ne me gêne pas pour dire aux gens s’ils me déplaisent, mais toujours avec tact. A l’inverse, je peux me montrer discrète et taire ce que je pense, sans jouer dans l’hypocrisie et le mensonge, ce que je hais par-dessus tout. On dit que toute vérité n’est pas bonne à dire, mais je répliquerais que toute vérité est bonne à entendre. Brosser les gens dans le sens du poil et leur lécher les bottes pour obtenir ce que je désire, ça ne me tente pas le moins du monde.

    On dit aussi de moi que j’ai une grande gueule. Là, il me faut nuancer. Je ne l’ouvre pas juste pour le plaisir de parler et de rabaisser les gens, je me défends, c’est tout. En effet, je préfère utiliser le verbe au poing pour régler les conflits. Et comme je suis cultivée, j’ai de quoi calmer les plus prétentieux. J’ai rabattu le caquet de plus d’une personne pensant qu’il pouvait me rabaisser parce que j’étais, en apparence, passive et muette. Je leur ai rapidement prouvé le contraire, maintenant on ne m’embête plus. Mais ce qui m’énerve encore plus, ce sont ces gens pensant qu’ils sont supérieurs parce qu’ils ont lu trois livres sans images et qu’ils ont retenu des mots. Ils utilisent ça partout pour rabattre les gens. Mais la culture c’est comme la confiture, moins on en a et plus on l’étale ... Raison pour laquelle je les laisse jouer au paon et péter leurs roues quand ils viennent me chercher, moi.

    On dit de moi que je suis asociale. C’est faux, totalement faux. Etre en compagnie des autres ne me dérange pas plus que ça, c’est pareil que si j’étais seule. Comme si je vivais dans ma propre bulle, mon monde à moi, où seules de rares personnes peuvent entrer. Ceux qui forcent le passage, je les fous dehors à coup de balai, mais je suis en général gentille et sympathique, avec un bon sens de la conversation. Par contre, je suis assez misanthrope, ce que j’assume totalement, prônant ça comme une qualité. Dans certaines situations en effet, je me sens supérieure à la race humaine, ce que mes crises ignorées de tous aident. Dans certaines situations très fréquentes, par exemple l’affreux connard qui te passe devant au cinéma sous prétexte que tu es une adolescente, et lui, un adulte mûr en costard-cravate ... Ou encore l’homme qui te pousse dans la rue et te demande de t’excuser. Ce ne sont que des exemples simples de la vie courante, mais ça y contribue. Je pourrais en citer pleins d’autres. Les guerres inutiles, la pollution de la planète, l’indifférence des hommes vis-à-vis de leurs confrères ... La race humaine est une race pitoyable qui ne trouvera son apogée que par son extinction définitive, et ce de sa main.

    On dit de moi que je suis sportive. Il y a de cela quelques mois, j’aurais éclaté de rire en vous disant que j’étais aussi active que la chenille dans Alice au Pays des Merveilles. Mais là, franchement, je ne sais plus quoi penser. Mes résultats en sports montent en flèche, je peux nager longtemps sans me fatiguer, je peux courir pendant des heures sans avoir le moindre problème respiratoire, je lance loin les objets, j’entends mieux, je vois mieux, je sens mieux ... Et ça m’inquiète beaucoup. Je masque d’ailleurs mes performances physiques à l’école, car comment pourrais-je expliquer que je cours nettement plus vite que le plus rapide des coureurs de l’école, voire que le plus rapide sprinteur du monde, ce plus rapidement que lui et sans le moindre essoufflement à la fin, hein ? »


    A.NCIENT L.IFE :

    Histoire :
    Journal intime de Kathleen Jones.
    Page 35/50.

    « Si j’ai à me plaindre de ma vie, je pense que je devrais commencer par parler de mes sœurs jumelles. On n’est pas triplées en fait, on est des fausses triplées, mais ça n’a jamais rien changé pour nous. On était toujours fourrées ensemble, à faire ensemble les bêtises, à découvrir ensemble là vie, à se soutenir mutuellement. A l’école, on n’en punissait pas une mes trois, à chaque fois, car nous refusions de dénoncer la fautive parmi nous trois. Je parle néanmoins au passé, car cette ère, ce pan de ma vie, s’est effondré un jour de pluie. Ce jour où mes deux sœurs, Jill et Skin, ont été enfermées par nos parents parce qu’elles étaient malades, mais moi non. Eviter les risques de propagation, oui, j’imagine que c’est bien, mais après cet épisode, elles n’ont plus jamais été les mêmes. Elles ont changé, et malheureusement en mal, faute m’est de l’avouer. Ou alors c’est moi qui aie trop changé ?

    La dernière fois que j’ai pu tenir une conversation normale avec une de mes sœurs, ce fut avec Jill. Je l’ai attrapée en train de pleurer, et j’ai appris que son petit ami s’était fait renverser par un chauffard ivre sous ses yeux. Ca m’a fait un choc, tout d’abord en me mettant à sa place, et ensuite en apprenant qu’elle avait un petit ami, depuis cinq mois déjà, m’avait glissé Skin au passage. Oui, vous lisez bien, je suis jalouse de la relation que mes deux sœurs, relation dans laquelle j’ai été exclue, bien que je ne sache pas pourquoi. Elles ont vraiment changé, ne veulent plus m’approcher, et dégagent une forte chaleur, en plus de ça, comme notre frère, Aaron, tué dans un accident de chasse. En fait ce fut à ce moment que se fit notre séparation. Aaron aimait les animaux, il ne les chassait pas, or son corps a été retrouvé dans la forêt. Qui l’a tué ? Pas un animal. Mes deux sœurs savent mais refusent de me le dire. Ca m’énerve, et en même temps ça me fait du mal, qu’elles ne me le disent pas.

    Mais j’ai changé, moi aussi, pas vraiment en bien. J’ai grandi dans la jalousie que j’éprouvais pour leur relation, et dans le grand secret caché par mon père et mes sœurs. Ce n’est pas agréable de grandir seule, vous savez. Je me suis trouvé des amis ailleurs. Autres que ceux qui ne voulaient plus de moi, à mon goût. J’ai commencé à traîner dehors et à prendre très illégalement des cours d’arts martiaux, pour passer ma rage et ma colère grandissante. J’ai traîné dans les rues, dans les bars, jusqu’à tard le soir, revenant dans la nuit en escaladant les toits sans me faire attraper. Ou pas, si j’en jugeais chaque nuit la lumière dans la chambre de mes sœurs, qui s’éteignaient à mon arrivée. Alors quoi, en plus de me snober, elles me fliquaient ? Malgré cela, elles devaient me porter un semblant d’affection pour me surveiller comme ça ... Non ? Et je continuais à changer, loin d’elle, connaissant les déceptions amoureuses et les crises d’adolescences, tant de choses que j’aurais aimé partager avec elles, Skin et Jill, qui ne voulaient plus de moi. Tous mes efforts pour tirer d’elles quelque chose restaient vains. Me couper les cheveux, les laisser repousser, les colorer, changer de style vestimentaire ... Rien. Alors je laissais tomber l’idée de recréer notre complicité d’avant, et il faut le dire, je me renfermais dans ma douloureuse solitude, trop fière pour aller leur parler. Et pour quoi faire, pour être accueillie de leurs regards glaciaux ?

    Mais depuis quelques temps, j’ai réellement besoin de leurs présences. Il m’arrive des trucs pas très normaux. J’ai mal. J’ai l’impression, parfois, de me dédoubler, de devenir deux moi, en effet. Une qui reste au sol et l’autre qui s’envole. C’est vraiment très douloureux. Cette partie de moi qui s’envole se transforme en quelque chose, aux sens aiguisés. J’entends tout, du pépiement de l’oiseau à la tombée du gland d’un arbre au fin fond de la forêt. Ca me laisse par terre avec un mal de tête à réveiller un mort, j’ai de plus en plus chaud, même en plein hiver j’ai des envies de sortir nue me rouler dans la neige, car je sais que je ne craindrais pas la morsure du froid. Je crains d’avoir attrapé la même maladie que mes sœurs, il y a tant d’années, mais je n’ai pas envie que mon père m’enferme. Alors je me tais, espérant que ça me passera, et je prends des médicaments. Des aspirines assez fortes pour renverser un cheval, je peux vider le tube sans que ça change grand-chose, et en plus je ne sens rien. J’ai peur de ce qu’il m’arrive, j’aimerais leur en parler ... Mais c’est impossible, puisqu’elles ne veulent plus de moi. »

    O.UT OF G.AME :

    Ajout : Bouh.
    Codes: Parfait =)
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x. ADAM
Admin' Hyl trop Sexy. Mais déjà prise. è_é
x. ADAM


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MessageSujet: Re: Kathleen.   Kathleen. EmptyDim 30 Aoû - 21:24

    Bienvenue. [Enfin j'crois que t'as un autre compte, non ?]
    Présentation validée, j'ai pas encore lu mais ya les lignes, ça me va.
    Bon jeu sur Blood Appeal.
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E.DOUARD
F.UTUR MAÎTRE DU MONDE A.MA.
E.DOUARD


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MessageSujet: Re: Kathleen.   Kathleen. EmptyDim 30 Aoû - 21:54

    Ma belle-soeur, on a les mêmes cheveux \o/.
    Tout du moins la même couleur.

    J'ai commencé à lire =).
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MessageSujet: Re: Kathleen.   Kathleen. Empty

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