Adelio [ F.inish ]

FORMULAIRE

Nom / Prénom :
Adelio

Age :
112 ans.

Sexe :
Mâle.

Je choisis :
Nomade.

Rôle :
XX

Portrait Physique :( 3 Lignes Minimum )

Adelio est un adolescent de 19 ans d'une taille moyenne, celle qu'on a peu prè tous les adolescents de cet âge. Il a, caractéristique d'un vampire, le visage pâle et des yeux d'une couleur or pure qui réduisent facile en cendres la détermination des autres en un seul regard. Ses cheveux sont blonds, d'un blond très clair et luisant. Ils sont courts et mêlés d'une façon artistique les uns aux autres, formant des mèches en pagaille sur son crâne. Sauf que cela le rendait plus élégant. Ses épaules sont bien carrées et il est musclé, même s'il utilise surtout son agilité et sa rapidité dans les combats.


Portrait Moral :( 4 Lignes Minimum )

Né en 1897, il a la politesse et la courtoisie que les hommes doivent avoir pour les femmes. Il n'envisagerait pas d'attaquer ou de tuer une vampire, sauf pour se défendre. Il est gentil mais réservé, et ses sautes d'humeurs sont rares. Il a un contrôle de lui très fort, car il l'avait travaillé dès sa renaissance. Il n'a quasiment aucun souvenir de sa vie d'humain, si ce n'est qu'il vivait avec sa mère qui était extremement riche mais peu connue et qu'il y avait été maltraité. Il est un très bon menteur et sait facilement montrer des expressions qu'il n'éprouve pas. Adelio a toujours du mal à trancher entre deux possibilités mais dès qu'il a fait son choix, plus rien ne l'arrête. Il est aussi un des rares nomades à être végétarien.


Histoire :( 5 Lignes Minimum )

- Qu'est-ce que j'ai encore fait ?!

Une marque de main rouge était visible sur la joue de l'adolescent. Sa mère, une femme dure avec des cheveux bruns, plats et longs le dévisageait de son regard vert qui avait tout d'une émeraude. La beauté, la brillance mais surtout la dureté. Levant la main, elle le gifla une nouvelle fois avec force et détermination. Répondant à la question de son fils, elle cracha tel un chat sauvage en fronçant ses sourcils fins et élégants :

- Tu devais aller chercher du bois dans la forêt, et tout ce que tu ramènes, c'est une pauvre bestiole qui ne va que nous attirer des ennuis avec un minuscule tas de brindilles à 11h du soir ! Qu'est-ce que tu foutais, au juste ? Ca fait trois heures que tu es parti, espèce d'idiot !

Comme pour ponctuer ses paroles, elle désigna la pendule dans son dos, plaçant son doigt de façon à faire l'aiguille sur le 8, puis remonta doucement sur le 11. Inspirant à fond pour se calmer, elle montra cette fois la porte d'entrée et continua d'une voix plus calme, mais que la colère faisait vibrer :

- Retourne dans les bois et va me chercher de quoi aller la cheminée. Tout de suite. Dépêche-toi. Je m'occupe de la bestiole.

Profitant de l'ordre de sa mère, il sortit à tout jambes pendant qu'elle rejoignait le chaton assis sur une pile de papier journal posée sur le canapé. Hélas, les miaulements stridents retentirent dans la maison avant qu'il n'ai pu refermer la porte. Ignorant les cris de douleur de la bête qui résonnaient dans sa tête, il courut droit devant lui. Adelio savait que le destin du chat serait arrêté dès son premier pas dans la maison, mais ses yeux jaunes désesperés l'avait convaincu de l'emmener. Sa fourrure chaude et grise aussi, ainsi que sa maladresse et sa petite taille de bébé. Serrant les mâchoires, il leva la tête pour lutter contre le chagrin qui l'envahissait. Le garçon était un égoïste, il le savait, mais il devrait vivre avec. Comme avec sa mère, ses coups répétés, le fait qu'il soit son souffre-douleur... Tout ça faisait parti de sa vie, et il ne pouvait plus rien changer.


Le noir l'entourait, dans cette forêt. Pourquoi avait-il décidé de venir ici ? Il mettrait des heures à retrouver le chemin de sa maison, et cette fois, sa mère l'attaquerait au couteau comme elle le lui avait promis s'il rentrait trop tard. Elle ne mentait jamais. S'il arrivait à rentrer, c'était la mort assurée. A moins que... Et s'il ne rentrait jamais chez ? S'il resterait seul, à errer dans ces bois inconnus et loin de chez lui ? Oui, puisque c'était la seule façon de survivre, il le ferait. A la recherche d'un arbre assez confortable et où il serait protégé de la pluie incessante, il trouva facilement un gros et vieux chêne feuillu. D'un bond agile et haut, il monta sur la première branche de l'arbre et s'installa en boule sur celle du dessus, beaucoup plus large et forte que la première. Adelio finit par s'endormir, bercé par les gouttes d'eau qui s'écrasaient au sol, vers trois heures du matin. Ploc, ploc, ploc.

La douleur se disperçait, il le sentait. Mais qu'est-ce qu'il lui était arrivé, à lui ? Il se souvenait s'être endormi sur une branche dans l'espoir de ne jamais revoir sa mère, et tout d'un coup, une chose lui avait transpercée la gorge et les poignets. C'avait été une sensation douloureuse, mais surtout désagréable. La douleur avait eu sa place juste après. Quand des flammes s'étaient emparées de son corps. A présent, elles avaient dévorées tout organe en lui, sauf son coeur. Il sentit que le feu redoublait de violence face à la seule chose comestible qui lui restait. Son dos s'arqua, quitta le bois épais pour retomber. Ce shéma se répéta trois fois, puis la douleur disparu aussi vite qu'elle était venue. S'asseyant, il repéra aussitôt que sa peau était pâle, très pâle. Il crut qu'il était malade et, pensant qu'affaibli, il n'échapperait pas à sa mère, il abattit son poing sur la branche. Elle craqua sous le coup et Adelio se retrouva au sol. Surpris, il se demanda ce qu'il lui était arrivé, mais pas longtemps cependant, car une forme aussi blanche que lui sortit de derrière un arbre et lui dit :

- Tu es un vampire. Aucun humain ne doit être au courant de ce que tu es. Evite aussi de te mettre en colère.

Puis la femme partit aussi vite qu'elle était venue, grimpant dans un arbre. Un troupeau d'élans passa non loin de lui et une brûlure lui envahit la gorge. Sans réfléchir, poussé par l'instinct, il se jeta sur le plus gros mâle, sûrement le chef. Il le tua avant d'achever une autre femelle avec son petit à la traîne. Une fois rassasié, il réfléchit à celui qu'il était devenu, ce qu'il devait faire et ce qu'il ne devait pas faire. Déjà, aucun humain ne devait être au courant de ce qu'il était, la vampire lui avait dit. Soudain, un rayon de soleil traversa le feuillage des arbres et vint se poster sur et devant lui. Ahuri, il examina sa peau recouverte de diamant. Ca aussi, il devait le cacher aux humains. Sinon, ils sauront ce qu'il est. Il ne lui fallait pas sortir en public les jours de soleil. Quand à la colère... Cela devait sûrement mettre la puce à l'oreille d'un humain. Une colère violente, peux-être. Il devrait travailler sur son contrôle. Alors, une fois informé sur sa nouvelle vie, il plongea dans le pan mystérieux du monde des vampires et autres créatures surnaturelles.

Autre :
XX

Codes : ( Deux dans le règlement & Deux dans les Explications )
Parfait, mais t'étais pas obligée de les remettre xP.