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 |  Sujet: Leah. Champi x).  Mer 27 Mai - 18:18 | |
| « Un côté blanc, un côté noir,
Personne n’est tout moche ou tout beau. »
« Docteur Renaud, Mister Renard, Renaud. »
I.DENTITE :
Nom : Blake.
Prénom : Leah
Âge : 18.
Sexe : Féminin.
A.CTUAL L.IFE :
Formalités :
Rôle ( au sein de la Meute ) : Subalterne, j’imagine.
Portrait :
Physique Humain :
Elle n’est certainement pas la fille dont rêvent les garçons. Pourquoi ? Oh, il faut avouer qu’elle est fort mignonne, bien formée, bref, un joli brin de femme. Mais son physique effraie. Ses cheveux, noirs de jais, sont longs, vraiment longs, lisses et raides. Quelques mèches rebelles lui servent de frange, couvrant son front et quelques-unes passant devant ses yeux. Ses yeux qui, justement, sont rouges. Ce qui, comme je le disais plus haut, a tendance à effrayer les abrutis qui ne cherchent pas à comprendre, et les gens se trouvant happés par son regard sanguin. Ses yeux sont rouges, tout simplement parce qu’elle est albinos. Non, ce n’est pas un signe futur de son sadisme sans bornes, vive les préjugés à la con.
Sa peau est blanche, autre effet de l’albinisme. Blanche pâle, comme un vampire. Ca ne lui déplait pas plus que ça mais elle sait que ça effraie les jeunes. Les très jeunes, hein, parce qu’une peau comme la sienne, on n’en voit que dans les films d’horreur, où les tueurs sont des fanatiques de l’hémoglobine qui dorment dans des cercueils en évitant comme la peste les rayons du soleil. Un vampire, je l’ai déjà dit, et ça lui plait, oui. Sa peau a l’air extrêmement douce, et il faut avouer qu’elle l’est. Douce comme le satin. Mais elle n’aime pas qu’on la touche, donc ça résout le problème. Son visage est assez normal, ovale et arrondi pour le menton. Ses lèvres sont fines et son nez légèrement retroussé. Bref, elle est vraiment mignonne, impression qui se renforcerait si les sourires qu’elle faisait n’étaient pas des sourires ironiques.
Elle n’est pas vraiment grande, elle doit friser le mètre soixante, voire soixante et un. Elle est petite malgré ses dix-huit ans, mais son port de visage lui donne son âge. Car si on se basait sur la taille, on lui donnerait facilement seize ans, alors qu’elle en a deux de plus. Sa carrure est élancée, elle est agile et souple, comme les chats qu’elle adore. Son corps est féminin, pas de problème de croissance, mais elle s’en fiche. Elle ne tient pas l’amour en haute estime et se fiche bien de regards appréciateurs qu’on pourrait lui lancer, et qu’on lui lance d’ailleurs.
Quant à son style vestimentaire, il ne varie pas. Elle est très bien comme elle est et se moque de ce que les autres en pensent. Elle se base avant tout sur la musique qu’elle écoute et les idées qu’elle a de la vie, le monde en noir et blanc. Sa peau étant déjà blanche, elle s’habille en noir. Appelez-la donc gothique si ça peut vous faire plaisir. En noir, de différents critères. Des jupes, des robes, ou bien des tee-shirts et des baggys, mais toujours du ample, classe, beau quoi. Toutefois, elle porte invariablement une collerette autour du cou, et des bracelets accordés à sa collerette autour des poignets. Et, invariablement toujours, ses oreilles de chats, noires, dans ses cheveux. L’ensemble donne du noir et blanc, tout comme son idéologie de la vie.
Physique Loup :
En humaine, elle est blanche pâle, les yeux rouges. Eh bien en louve, tout le contraire ... Comme dit Renaud, un côté blanc, un côté noir. Leah la louve est noire ponctué de blanc, ses yeux son jaune vifs. Quand il y a du soleil, sa fourrure prend des reflets métalliques. Elle est très soyeuse, d’ailleurs, cette fourrure, et bien garnie, on dirait une grosse peluche toute gentille. Sauf que la peluche a des crocs, de taille conséquente, et des griffes aux pattes, qu’elle n’hésite pas à utiliser.
En louve, elle parait bien plus robuste qu’elle ne l’est, du moins qu’elle ne l’était, misérable fétu de paille fragile se laissant guider par le cours des évènements. Elle est d’une taille moyenne, mais conséquente. Par rapport aux autres membres de la meute, elle est petite en fait, et bien moins trapue que ses congénères lupins. Mais elle a à son avantage plus d’agilité et plus d’endurance. Moins de force, il est vrai, mais plus d’agilité, ce qui compense largement la donne.
Psychique :
Mademoiselle est une grande rancunière. Elle aide généralement quiconque lui demande son aide, sauf s’il ne lui inspire pas confiance. Et par instinct, elle sait qui sont les gens qu’elle doit éviter. Les vampires, par exemple. Oh, certains sont fort sympathiques, mais ils puent ... Sentir aussi fort ne devrait même pas être permis. A éviter donc. Assez rancunière donc, elle se rappelle des coups de cochon qu’on lui fait, et laissera couler l’eau sous le pont. La vengeance est un plat qui se mange froid. Car, quand l’autre sera en difficulté, elle se vengera, en le laissant se débrouiller. Même si à cause de cela il y perd la vie. Tant pis pour lui, sa saloperie s’est retournée contre lui.
Elle a une bonne répartie et aime en user pour se défendre. La violence c’est dépassé, et puis, les attaques morales font souvent bien plus mal. Elles laissent une cicatrice sur le cœur, qui ne se guérit pas, et quand on se fait connaître comme quelqu’un ayant une grande gueule, généralement on ne vous ennuie plus trop ensuite. Sinon on se prend de la répartie cynique en plein dans sa tronche, ce qui calme quelque peu les plus folles ardeurs. Oui, être ironique, cynique, froid et glacial est bien plus efficace que de coller un poing dans la figure, ce que de toute façon elle ne sait pas faire. Non, elle ne sait pas se battre à la brute, mais attention, elle a pris des cours d’arts martiaux. C’était ça où l’engueulade avec les parents. Différents arts martiaux dont elle est maintenant calée maintenant.
Elle est extrêmement calme. Jamais elle ne s’énerve en public, elle préfère les répliques massacrantes. Si elle doit s’énerver, ce qui arrive, elle place un bon atémi dans les côtes, ça calme la populace. Mais juste avant, elle devient doucereuse et mielleuse, et un sourire condescendant, ironique, bref, malfaisant.
Elle n’est pas bien bavarde. Elle a le sens de la conversation mais ne parle pas pour ne rien dire, ou pour diffuser rumeurs et ragots. Elle n’aime pas les flatteries, considérant ça comme de l’hypocrisie. En gros, pour les compliments ou autre, mieux vaut être son ami, seule personne dont elle acceptera les remarques. Elle n’est pas du genre à s’amadouer facilement, et n’est pas domptable. Elle possède un grand sarcasme et peut se montrer exaspérante de par son ironie, ce qui énerve et déstabilise les gens qui viennent l’embêter. En un sens, elle est très têtue et obtient toujours ce qu’elle désire, même si pour cela elle doit emprunter des chemins détournés.
En fait, elle est une personne assez misanthrope. Elle n’aime pas les autres. Non dans le sens qu’elle ne les supporte pas et qu’elle ne veut pas les côtoyer, mais plutôt dans le sens où les grande similitudes entre les personnes deviennent pesantes. La mode par exemple. On est bien comme on est, tant pis pour la mode ! Mais certains légumes semblent ne pas le comprendre, malheureusement. D’autres choses l’énervent, comme la jalousie, ou encore pire, l’amour. Devenir totalement con, puis totalement abruti et aveugle, et finalement pleurer comme un abruti parce qu’on rouvre les yeux. C’est ça ma chérie, la vie est en noir et blanc.
Raison pour laquelle elle aime les animaux. Les chats, plus principalement, qui ont une grande dimension mystique. Avec Horus, son chat, elle sait qu’elle ne sera jamais déçue. Il est gentil et amical, et ne lui fait pas de crises de jalousies débiles quand elle rentre trop tard. C’est beau le célibat, non ?
A.NCIENT L.IFE :
Histoire :
{* Commencer par le commencement.
« Maman, j’ai mal à la tête ... »
« Tu as mis assez de crème, mon cœur ? Viens que je regarde ... »
Oui, la petite avait assez de crème solaire pour vagabonder sous le soleil fou de la ville, mais pourquoi avait-elle si mal à la tête alors ? Par mesure de précaution, la petite Leah se tartina encore plus et s’éloigna de l’ombre du parasol. Pas longtemps. Elle revint en courant vers sa mère, à la limite des pleurs, se plaignant cette fois-ci de nausées. Le problème c’est que la mère discutait avec une amie, alors elle l’envoya vers son père. Pas le temps. La petite se dirigea vers son père, et d’un coup tomba au sol, en pleurant et en criant, puis finalement tomba dans les pommes, ce qui est mieux pour elle.
« Albinisme. »
« C’est une plaisanterie, docteur ? »
« Absolument pas, votre fille est albinos. Il va falloir la protéger grandement pour lui éviter un cancer, ou déménager vers un endroit pluvieux. »
Et devinez quoi, c’est ce qu’ils firent. Direction Forks, du moins la Push, la ville du brouillard et des averses.
{* Le temps de l’interrogation.
La mer. La jeune fille, assise sur la plage, fixait la mer d’un regard absent. Il faisait mauvais, comme toujours, raison pour laquelle ils étaient d’ailleurs venus ici. A cause d’elle. Comme d’habitude. Car sous le doux soleil de France, elle avait failli mourir, les voilà obligés de s’exiler ailleurs, dans ce trou de pluie et de grisaille. Magnifique. Et en plus on la regardait si bizarrement ... Etait-ce à cause de sa peau, de ses yeux, ou des deux ? Elle était différente. Et ça commençait à la faire vraiment chier. Que connaissait-elle des vampires ? Pas grand-chose, rien du tout en fait. Donc, elle ne comprenait absolument pas le fait qu’ils l’assimilent, elle, à une de ces créatures de malheur. Pauvre gosse rejetée à cause des créatures dont elle ignore tout. Tout ce qu’elle savait se limitait à peu de choses ... Personne ne voulait d’elle, et il existait dans ce village un espèce de groupe qui se prétendait les protecteurs. Des illuminés, des barges, ça c’était certain.
Et puis elle détestait cet endroit.
Il y faisait trop froid, mais bizarrement elle était la seule à le penser. Son père se baladait en tee shirt et sa mère normalement ... Etait-elle la seule à se couvrir de pulls et à éternuer au moindre courant d’air ? Et pourquoi tout le monde se baladait comme son père, et pourquoi passait-il tant de temps avec ces fous furieux, protecteurs de leurs chimères ? Elle avait rapidement compris qu’ils s’étaient installés dans le village où son père avait grandi, mais ensuite ? Trop de questions pour elle, trop de découvertes apportant de nouvelles interrogations. Mais tant pis. Peut-être qu’un jour on lui expliquerait ...
{* Le temps de la découverte.
« ... sont revenus, on ne sait pas d’où, mais les jeunes ont recommencé à muter ... »
« C’est dangereux pour nous ? »
« Non, la Meute protège les territoires et ... »
Et plus rien. Dès qu’il l’avait vue, son père avait cessé de parler avec sa mère. De nouvelles questions pour la fillette ... Qui était revenu, qu’entendait-il par muter, et enfin, meute de quoi ? Cet endroit était-il dangereux, y recelait-on de la drogue, des stupéfiants, de l’alcool ? Elle eut beau demander à ses parents, elle n’obtint aucune réponse. Vieux fous obtus. Ils vivaient dans un endroit dangereux, et ça c’était sur, elle allait y passer.
Alors elle fugua.
Par les bois, évidemment. Il pleuvait, ce jour-là, et elle courut plus qu’elle ne marchât, puis finalement se perdit et s’effondra dans une flaque d’eau, un mal de crâne abominable lui torpillant l’intérieur de la tête. Elle voulait mourir. Elle voulait que ça passe. Elle voulait qu’on lui fiche la paix. Qu’on arrête de la regarder comme un monstre, une étrangère, qu’on l’accepte enfin, qu’on lui parle, qu’on lui dise enfin quelque chose de gentil, que ...
« Eh, elle est là ! »
« Trop fort Aaron, tu l’as retrouvée ! »
« Evidemment, qu’est-ce que tu crois, amateur ! »
« Tu es sûr que c’est elle ... ? »
Hésitation perceptible. Leah garda les yeux fermés. Aaron fit taire le garçon d’une voix sèche et se pencha sur elle.
« Leah Blake ? Calme toi, tout va bien, on te ramène chez toi maintenant. N’aie pas peur, on ne va pas te faire du mal. »
Il l’attrapa dans ses bras aussi délicatement qu’un bout de porcelaine mais aussi facilement qu’un fétu de paille. Et malgré la pluie, sa peau était chaude ... Non, brûlante. Comme celle de son père. Il avait quelque chose à voir là-dedans alors ?
Les protecteurs, puisque c’était eux, la ramenèrent chez elle, où elle resta longtemps officiellement malade, une bonne grippe. Ah, la pluie, que voulez-vous ... Mais pourquoi avait-elle si mal ? Pourquoi sa mère pleurait-elle autant ? Allait-elle mourir ? Partagée entre deux sensations, le chaud et le froid, et entre deux sentiments, la douleur et l’envie de mourir, elle se débattait dans ces ténèbres obscures qui l’engloutissaient petit à petit. Finalement, elle ne voulait plus mourir ... !
{* Le temps de la compréhension.
Les réponses qu’elle avait toujours voulu avoir lui avaient été fournies sur un plateau d’argent, par son père, en plus. Il lui expliqua tout : la meute, les vampires, sa propre appartenance à la meute, sa mère imprégnée, puis le fait qu’il soit parti en France pour que sa famille puisse vivre à l’abri de tout ça. Et il la présenta aux siens, puisqu’elle en faisait partie.
Au terme de cette épouvantable semaine de souffrance, de cris et de larmes, elle s’était transformée en louve, et était redevenue humaine, nue comme un ver. Et tout s’était arrêté. Bon gré, mal gré, on l’accepta dans la meute, parce qu’elle était une louve, mais son physique dérangeait toujours autant. Mais, lasse de toutes ces balivernes, Clémence reprit les choses en main marquant son désir de ne pas se laisser écrabouiller les pattes par des abrutis.
« Mon profil te dérange ? Tu as vu le tien, face de rat ? Même un casse-croûte de vampire après son passage a une meilleure gueule que toi ! Et si je te déplais, personne ne te force à rester près de moi ! »
Et vlan. Parce que finalement, elle apprit à se faire respecter, et décida d’en rester à ce langage cassant. Non mais. Mais cette vie lui convenait, elle y était très bien. Et en tant que louve, elle n’avait plus aucun problème d’albinisme, ce qui l’arrangeait quelque peu, surtout quand elle était de garde en plein soleil ...
Et un jour l’alpha mourut. Ce fut sa sœur, Jill, qui devint alpha à son tour. Comme tant d’autres, la nouvelle de la mort de l’alpha attrista Clémence, qui l’aimait beaucoup. Après tout, c’était lui qui l’avait ramené chez ses parents, d’où elle avait fugué ...
O.UT OF G.AME :
Ajout : Salut, c’est re-moi x).
Codes Parfait ma ChampiBird'Petit-Frère.
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